je suis allée me "faire voir chez les grecs": la Grèce ce fut ça:

Lundi 12 juin, après à peu près 3h30 de vol, nous atterrissons à Athènes.Le soleil est présent mais un petit vent nous rafraîchit. Une dame avec un petit panneau Club Med et un franc sourire  nous accueille et nous dirige vers un mini-bus.Nous sommes une petite douzaine: un charmant couple avec trois adorables enfants ( nous sympathiserons pendant le séjour), un autre couple d' une trentaine d' années, beaux comme des Dieux ( grecs bien-sûr), un jeune homme qui s' avérera être un ingénieur diplômé de Centrale venant faire un remplacement de professeur de tennis au club et nous 4. Une fois les bouteilles d'eau distribuées, nous voilà partis pour 2h30 de trajet. Et oui Grégolimano se mérite! Je ne vous dirai rien du paysage vu que j' ai dormi quasiment tout le long du chemin à cause de la fatigue accumulée lors de la bataille contre ma valise( voir mon article précédent) et pendant la nuit perturbée par l' énervement découlant de cet épisode qui suivit.Notre joyeuse troupe, je peux dire fort sympathique car nous avions tous engagé la conversation lors du très' apprécié arrêt pipi ( lors d' une excursion la guide dissertera pendant de nombreuses minutes  sur la faculté ou plutôt l' impossibilité de satisfaire les gens à travers cet incongru exemple de l' arrêt pipi qui semble une priorité pour une majorité ( un moment d' anthologie que je vous narrerais peut-être plus tard mais qui ne me concerne absolument pas, car après des années d' école, de collège, de lycée, d' enseignement où, poussée par une aversion pour les toilettes publiques, sales et mal-odorantes, je suis arrivée à la maîtrise totale de mes sphincters pendant une journée entière (je m' égare avec ces détails anatomiques personnels qui néanmoins je suis certaine , vous passionnent)...Notre joyeuse troupe, disais-je, )arriva dans un petit port où nous attendait un bateau taxi à moteur .La mer était d' huile, Poséidon devait faire la sieste à cause de la chaleur.Les moteurs étaient puissants et le bateau laissait dans son sillage un joli V d' écume blanc qui tranchait avec le bleu profond de l'eau.Le ponton était déjà en vue , ainsi qu' un aimable comité d' accueil .Une serviette pour se rafraîchir et un verre de boisson fraîche nous attendait : ça y est nous y étions : à nous le sport, la bronzette, la lecture , la baignade , les apéros, les danses autour de la piscine et les soirées festives....Grégolimano s' offrait à nous! Y a du soleil et des nanas, tadadiradada.....